« Avec crédibilité et efficacité, Yann Reuzeau montre comment les journalistes, selon leurs personnalités et convictions, essayent de gérer cette situation politique inédite, entre résistance, relative allégeance ou passage à l’action. » La Croix
« Un président d’extrême droite est élu en France. Comment réagir quand on est un journal influent qui a bâti sa réputation sur une ligne claire : pas d’opinions, des faits? Ces questions, Reuzeau les pose frontalement, c’est un auteur qui sait présenter les enjeux dans leurs complexités, et nourrir le suspens. Reuzeau met en scène un point de bascule révélateur de la fragilité de la démocratie. Un souffle, une énergie, une conviction. »
Le Monde
« Une fable noire, un feuilleton haletant. Reuzeau met une fois de plus son talent dans l’observation du monde tel qu’il va, c’est-à-dire mal. Malin et rythmé, son texte évite habilement les clichés et le manichéisme. Les dialogues survoltés et les comédiens habités nous embarquent au bout d’un cauchemar diabolique. Soufflant. » Elle
« Récit d’une désagrégation qui contamine l’humain avant de gangrener la société, ce texte est remarquablement étayé et diaboliquement structuré. La déflagration des faits et implacable qui transforme la menace du pire en probabilité rationnelle. Un spectacle anxiogène mais nécessaire qui joue à plein poumons son rôle de Cassandre. » Télérama
« Le talent de Yann Reuzeau est de multiplier les questions politiques et humaines autour de la fragilité des démocraties en puisant dans notre quotidien. » La Terrasse
« Reuzeau, trop malin pour tomber dans la caricature ou la bien-pensance, a un vrai talent. Le texte est intelligent, brillant, et c’est toujours passionnant. Des comédiens dirigés d’une main de maître, comme d’habitude tous excellents. » Figaroscope
« Un spectacle vraiment intriguant. Une écriture extrêmement fine. On a est totalement pris. Il y a une belle efficacité dans la compression de la narration, resserrée autour de la montée de au pouvoir d’un Président d’extrême droite. Les dilemmes du spectacle font écho à des cas très concrets aujourd’hui, comme aux Etats-Unis ou au Brésil. La pièce arrive à point nommé. » La Dispute, France Culture
« Une mise en perspective réussie et passionnante par le prisme du microcosme journalistique avec un tsunami qui s’abat sur le journal Les Témoins pour engager son pronostic vital. Une (im)pertinente et passionnante réussite. » Froggy’s delight
« Éprouvant ! Reuzeau nous fait la grâce de ne nombre dans aucun cliché. Une implacable démonstration de puissance du théâtre. Le texte pourrait s’inscrire parmi les quelques lumineuses dystopies qui ont traversé la modernité. Reuzeau va plus loin que ces réalités qui nous inquiètent. Il pousse le vice. Il joue avec les mémoires. C’est du Tarantino trempé dans le doux-amer, un Audiard grave. C’est jouissif, presque purificateur. Les comédiens sont applaudis dans une sorte d’hébètement par un public soufflé, dans un silence grave et stupéfait, avec solennité aussi. Il se passe quelque chose d’important à la Manufacture des Abbesses en ce moment. » Le Bruit du Off
« Saluée unanimement par la presse, Les Témoins est une pièce à aller applaudir absolument. Sortis du théâtre, vous entendrez résonner encore longtemps ces annonces gouvernementales tombant comme des couperets brisant une à une les lois fondamentales de notre démocratie. » Carré Or.tv
« Comme l’était Chute d’une nation, Les témoins est un spectacle passionnant. Du théâtre qui questionne avec intelligence et fait réfléchir. Je vous le recommande vivement. » Le Galopin
« Passionnant! Un récit captivant, haletant, parfois sidérant. Les comédiens nous touchent par leur questionnement, leurs doutes, leurs dilemmes, leurs batailles intérieures, leur cheminement intellectuel. On espère qu’il y aura une suite ! Un spectacle fascinant. » Théâtre côté cœur